Ce matin-là, je devais amener mon fils à la mission locale pour l’aider à trouver une alternance. Ensuite l’amener chez le docteur et passer à Leclerc pour lui prendre un dossier pour déposer un cv .
Les horaires étaient inscrits, mais je ne sais pourquoi j’ai cafouillé. Il y avait des travaux partout sur Carpentras, puis je ne sais pourquoi il y avait du monde. Les voitures roulées et se garer n’importe où, n’importe comment sur la route. Je ne le cache pas, cela commençait à m’énerver.
Accéder à la Mission Locale
Pour aller à la mission locale, le centre-ville était en travaux. On ne pouvait plus aller sur le parking en passant par la route, je devais contourner en passant par le centre commercial Intermarché. J’aurai pu me garer à Intermarché, mais nous étions parties un peu tard, et mon fils serait arrivé en retard.
J’ai dû passer par le parking d’Intermarché, le parking du cabaret pour arriver au parking des platanes. Fort heureusement, il y avait des places.
Mon fils a pu arriver à temps à son rendez-vous.
Dans ma tête, le rendez-vous de la mission locale, était juste avant le rendez-vous du docteur. Il sortait de la mission locale et on avait 10 minutes pour aller chez le docteur.
Sauf qu’en réalité, il est sorti de la mission locale, je suis allée sur le parking de Leclerc, c’était blindé.
J’étais persuadé d’arriver en retard chez le médecin. Énervé contre les voitures, qui s’arrêtaient en plein milieu du parking, sans penser aux blocages qu’il y avait derrière.
Mon fils m’a dit : » Mais maman, le rendez-vous du médecin, c’est dans une heure ».
Moi : « Quoi ? Il est 9 h 30 ? »
Mon fils : « Oui, et le rendez-vous de la mission locale était 9 h ».
Moi : « Je croyais que la mission locale, c’était 10 h, et le rendez-vous du médecin 10 h 30 ».
Mon fils : « Non, c’était 9 h et médecins 10 h 30 ».
Mon stress est redescendu, et l’incompréhension est arrivée.
Un message de l’univers était présent, je ne le voyais pas encore. On m’a bloqué, avec les travaux, j’ai dû bifurquer, mais finalement, j’ai trouvé une place de parking, pas loin de la mission locale. Mon fils n’est pas arrivé en retard.
Premier message : peu importe les chemins empruntés, l’important est arrivé à destination, peu importe le temps que ça prend.
Se garer sur le parking de Leclerc
Oui, mais là, sur le parking de Leclerc, blindé, voiture n’avançant pas. Un monde fou pour un mardi, et le parking plein bien plus qu’un jour de marché. Je ne souhaitais pas aller sur le parking du troisième étage. Mais là où je trouve de la place d’habitude, c’était plein, les voitures tournaient tout comme moi pour avoir une place. Ce n’est sans doute pas ce que l’univers souhaitait me dire : « Les gens te bloquent ». L’univers n’a pas pour message que c’est la faute des autres. L’univers souhaitait sans doute que je prenne le temps, ou que j’apprenne la patience.
J’ai compris le message lorsque j’ai finalement été au troisième étage. Peu de monde, le parking en plein soleil le donnait lumineux. Les voitures ne bloquaient personne, et il y avait plein de place.
Moi : « C’est ça, si on s’élève un plus haut, nous avons moins de monde, plus de place, et moins de problèmes.
Mon fils : « C’est triste qu’il y ait moins de monde ».
Moi : « Non, car on privilégie la qualité à la quantité. Les personnes sont plus respectueuses des autres, personne ne se gare aux milieux. Tout le monde est bien rangé, personne ne prend deux places. De ce fait, il y a de la place pour tout le monde. La qualité à la quantité. Je dois continuer à m’élever.
Il y avait aussi un autre message: Plus on s’élève, et moins les personnes ne nous pause de problème. Combien de fois cela m’arrivait d’être embêté? plus depuis que mes enfants étaient sortie sur cursus scolaire. Plus on travaille sur nous, et plus le tri se fait naturellement, et moins on a de soucis.
Cela arrive pile la semaine où je fais mon stage de reiki et j’ai commencé la veille.
Chez le médecin
Chez le médecin, mon fils avait des verrues, il lui a donné un traitement. Expliquant que les verrues venait d’un manque de magnésium et du stress. J’ai des verrues, et je ne m’étais pas rendu compte que j’avais du stress. Cependant, j’avais conscience que ma famille, celle dont je me suis éloignée (père, frère, soeur, oncle et tante) me posait un stress, malgré leur absence. J’ai la curatelle de mon petit frère, qui a de très gros problème psychologique. Je l’ai entouré d’éducateur, et psychologue, psychiatre. Je suis en lien avec son patron. Mais il est tellement soutenu par cette famille qui refuse de voir les problèmes psychologique, que j’ai peur qu’il retombe dans ses travers. Et c’est ce qui est arrivé. Cette famille qui le soutient, dans ses problèmes, le protège, au lieu de protéger les victimes. Et moi pensant aux victimes, et collaborant avec les professionnels. D’un côté il y a moi, expliquant « Ce que tu fais n’est pas bien. C’est un manque de respect. » De l’autre il y a ma famille: « Il faut se servir des gens. Allez on oublie ce qui s’est passé et on parle d’autre chose ».
C’est comme si, je le menais vers un chemin droit, et que la famille, les aînés lui disaient : « tu peux le faire, c’est pas grave. »
Je parle d’agression, quand même…
Mais comme si l’univers m’avait entendu, une professionnelle de santé en lien avec mon petit frère, me contacte.
Une autre avancée, pour peut être aidé le plus grand nombre… du moins à mon niveau.
A moi maintenant, de me servir du stress pour avancer à ce niveau là, et enfin le bloquer dans ses agissements immoraux. De faire de quelque chose de négatif, quelque chose de positif.