
Le suicide en constellation familiale.
Une personne qui se suicide, ne fait pas un acte anodin, il entraîne avec lui ses descendants.
Je le vois souvent en consultation, les parents d’adolescents qui ne comprennent pas ce qui arrivent à leur enfant.
Les crises d’adolescents n’existent pas, les cris à dos existent. En résumé, s’il y a des cris à dos, c’est qu’il y a une histoire transgénérationnelle, ou une histoire d’éducation. Aux parents de découvrir le souci.
Ceux qui souffrent le plus ?
Bien sûr que chacun souffre après un suicide. Sur qui la souffrance va se répercuter ? Sur chacun, de manière différente.
C’est le grand-parent des parents, qui aura un impact sur les enfants.
En résumé l’arrière grand parents des enfants. En réalité, cela aura eu un impact sur les grands-parents, qui le garderont intérieurement. La souffrance sera transmise aux parents, même s’ils ne l’auront pas connu, et eux arriveront plus ou moins à gérer. À la quatrième génération, ça explosera, à l’adolescence de l’enfant. Le moment où l’enfant devient adulte et où il doivent gérer leurs hormones et les histoires psychogénéalogiques.
Il est aussi possible que se soit un oncle ou une tante, cela agira de la même façon, sur plusieurs générations. Sauf si c’est honoré.
Quels seront les symptômes ?
- Dépression.
- Tristesse profonde.
- Problèmes sur le corps selon la manière dont l’arrière grand parents, s’est donné la mort. Pendu : problème aux cervicales et au dos. Poignet : problème aux poignets et aux bras. Balle dans la tête : douleur de tête. C’est problématique peuvent apparaître dès les grands-parents, se donner aux parents et ensuite aux enfants. Traversant donc les trois générations.
- Colère
- Ce que l’on appelle les crises .
Ados : à dos
Trentaine : trente haines
Quarantaine : quarante haines
Cinquantaine : cinquante haines.
C’est pourquoi certain la font et d’autres non. Cela vient de l’histoire familiale non reconnue. - Mal être général, depuis l’enfance.
- … etc. Liste non-exhaustive, faisant partie de mes observations.
Comment gai rire?
En honorant.
Honorer le suicide, l’acte.
Honorer la personne et l’accueillir dans notre cœur, notre âme et notre destinée.
Honorer son choix.
Honorer, c’est leur laisser une place dans la famille, dans notre cœur. Sans eux, nous ne serions pas là.
Une constellation familiale peut aussi vous aider, le thérapeute est le mieux à même de vous accompagner.